Cette information capitale vous est-elle parvenue ? Thérèse, vous savez, "celle qui rit quand on la baise" ? Ceux qui ont un peu plus de vingt ans riaient aussi à son prénom. Et bien cette brave Thérèse ne doit plus rigoler tant que ça, vu que la pauvre chérie ne rencontre que peu de partenaires (1,1) disposés à s'ébattre avec elle. Coiffée au poteau par une théorie de filles aux prénoms en "a". Cette brillante étude ne nous dit pas où en est Monique... Aux oubliettes Monique, condamnée à s'appeler Monica. Martine n'ira pas non plus au gang bang avec ses 1,3 camarades de jeu…
C'est un site de rencontres, Smartdate, qui a pondu cette étude. Avec beaucoup de sérieux : l'enjeu le méritait ! 17628 abonnées ont donc été sondées et le résultat est sans appel (selon Smardate) : même Isabelle, Marie ou Nathalie, pourtant dotées de prénoms tendance, ont beaucoup moins de succès, bien que les statistiques aient été pondérées en fonction des tranches d'âge.
Qu'en a conclu Smartdate ?
Que la terminaison en "a" sonne de manière délicieusement exotique et serait donc synonyme d'érotisme pour les hommes.
Il faudrait donc croire que les hommes fantasment majoritairement sur "la salope tropicale" ?
Bref, pour faire parler d'eux, les marketing boys de Smartdate ont pris le risque d'affliger des cohortes d'Amélie, Catherine, Eloise, Florence, Mélanie… la liste des esseulées éplorées est longue. Mais, ils ont aussi pris le risque de faire injure à la délicatesse de beaucoup d'hommes qui ont des rêves tout aussi torrides quel que soit le prénom de la femme.
Et n'allez pas penser que mon agacement envers la stupidité de cette étude a quoi que ce soit à voir avec le fait que mon prénom ne se termine pas en "a" !
PS : ne comptez pas non plus sur moi pour illustrer ce billet de (mauvaise) humeur (comme nombre de mes confrères et consœurs l'ont fait) avec une photo d'Angélina (pas) Jolie !
Elle s'appelait Louise...
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