Le bain et ses variantes dans leur dimension érotique a inspiré le cinéma, bien sûr. A une époque un tant soit peu puritaine, le bain autorisait quand même la vision d’un bout de sein sans que les censeurs ne tombent en syncope.
Si nous ne voulons évoquer que des classiques, quelques références : Martine Carole dans «Lucrèce Borgia», Arletty dans son tub de «Le jour se lève», de Marcel Carné, et la scène torride de Deborah Kerr et Burt Lancaster qui s’enlacent dans «Tant qu’il y aura des hommes» de Fred Zinneman. On peut aussi apprécier la sortie de l’onde d'Ursula Andress dans James Bond contre docteur No.
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Dossier " Ondes de plaisirs... l'eau et l'amour " - Article " Un classique de l'écran " ©nouvellestentations.com
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