A priori, il est plus facile d’être la personne qui s’abandonne aux caprices du « maître ». Néanmoins, il faut respecter quelques règles. L’obéissance, bien sûr. Mais on ne peut respecter cette obéissance « théâtralisée » que si l’on en a défini les contours.
Il est fondamental qu’avant ces petites séances de DS, la personne soumise ait dit ou écrit (cf. dans notre dossier l'article : Questions pour des champions) soit ce qu’elle aimait, soit ce qu’elle n’aimait pas, soit ce qu’elle refusait absolument.
Si elle a bien défini ce qu’elle aimait et ce qu’elle refusait, le maître peut se divertir entre ces deux pôles.
A partir du moment où la soumission a été définie dans ses grandes lignes par la personne qui va l’éprouver, cette dernière doit être docile et suivre aveuglément (surtout sous le bandeau) celui qui la domine le temps d’un jeu…
Dossier " Domination & soumission... dans les jeux érotiques " - Article " Une bonne soumission " ©nouvellestentations.com
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