Rien de plus significatif pour quiconque s’intéresse aux plaisirs sensuels que la flagellation tant vantée par le marquis de Sade, Sacher-Masoch ou Apollinaire (rappelons que les Onze Mille Verges ne désignent pas des sexes masculins, mais des baguettes).
Hélas, l’histoire de cette pratique est liée à deux grands types de malades sexuels : les hommes de pouvoir (politique et judiciaire) et les religieux.
N’oublions pas que la flagellation, que nous allons évidemment étudier dans ses aspects les plus plaisants, a été aussi et surtout le procédé le plus utilisé pour infliger des souffrances atroces sous couvert du respect des lois et des coutumes…
Commençons par le bon côté– nommons-le ainsi sans ignorer qu'il se nourrit -par le biais du fantasme- des mauvais côtés.
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Dossier " La Fagellation " - Article "Flagellation, des bons et des mauvais usages " © nouvellestentations.com
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