L’avis des consultants est unanime : la plupart de ces objets sont à manier avec précautions. Une fois qu’on sait ce qu’on peut en faire, et surtout ce qu’on ne peut pas en faire, alors, en route vers le plaisir.
D’abord, si vous les utilisez avec un partenaire occasionnel, sachez que les maladies peuvent se transmettre par l’objet introduit dans un orifice du partenaire en question et introduit ensuite chez vous. Il faut donc poser un préservatif, et soit le retirer, soit le changer pour le plaisir alterné !
Ensuite, la lubrification. Les matières employées pour les godemichés et les ustensiles divers ont beau être plutôt lisses, elles ne le sont jamais assez pour nos muqueuses, surtout lorsque les objets sont employés pour des préliminaires, donc en début d’action. Prévoyez donc des lubrifiants et n’en soyez pas avare. Dans ce domaine comme dans d’autres, le trop vaut mieux que le pas assez. Il existe deux sortes de lubrifiants : ceux à base de silicone lubrifient plus longtemps, mais sur un sextoy lui-même en silicone, interagissent avec celui-ci et peuvent l’abîmer. Ceux à base d’eau sont moins soyeux mais s’accordent mieux avec sextoys et préservatifs.
Dernière précaution, enfin : tout objet sexuel utilisé dans l’anus doit comporter une butée (ou de fausses testicules…) qui empêche l’objet de disparaître dans le conduit intestinal, et évite ainsi une fin de soirée aux urgences. Par parenthèse, les légumes ou autres objets non destinés à l’amusement sexuel ne peuvent pas sans risque remplacer les sextoys !
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Article " Sextoys : conseils sanitaires " © nouvellestentations.com
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