Difficile d’évoquer ce qui se fait de plus extrême, ou en tout cas de plus étranger à bon nombre de gens: la scatophilie.
Pourtant, Nouvelles Tentations n’a aucune intention d’écarter les scatophiles et scatophages de ses colonnes, puisque nous parlons ici de toutes les pratiques sexuelles légales auxquelles chacun est libre de se livrer si bon lui semble !
Deux termes sont possibles pour nommer ce type de pratiques :
la scatophilie ou la coprophilie, tous deux issus du grec et signifiant « amour des excréments ».
On peut considérer d’un point de vue psychologique que le coprophile transgresse un vieux tabou : l’enfant, qui montre souvent ses matières fécales avec fierté puisqu’on lui demande de « faire popo », se voit curieusement enjoint de cacher le produit pourtant tant espéré de son effort. Il discerne même quelques marques de dégoût sur les traits maternels. Il croyait faire un cadeau, il s’en voit félicité mais aussi réprimandé. Plus tard, l’homme peut très bien s’affranchir symboliquement de cette première réprimande : les matières fécales redeviennent un plaisir et un cadeau.
Un deuxième volet de la coprophilie est plus sadomasochiste, la personne dominante obligeant l’autre à accepter tout ce qui vient d’elle, y compris la merde. C’est le premier volet, ludique et presque joyeux, qui nous semble le plus intéressant dans la mesure où la scatophilie sadomasochiste utilise les excréments de façon évidente (« la merde, c’est mauvais et ce n’est pas bien, donc tu vas l’accepter »), tandis que la scatophilie partagée part du principe que les matières fécales sont une récompense. Après cela, les techniques sont simples et connues : se faire déféquer sur le corps ou dans la bouche (avec ingestion ou non).
La sodomie peut aussi donner lieu à quelques fantaisies coprophiles, le pénis enduit de merde pouvant être sucé avec gourmandise par la personne préalablement enculée.
Pour ceux que cela intéresse, Internet regorge d’illustrations et de clips sur le sujet. Les Allemands en particulier sont friands de cette pratique. Nous vous conseillons de regarder les exploits de deux « stars du scat », qui nous semblent illustrer les deux volets de la scatophilie précédemment décrits : Chienne Mary, une Française, choisit plutôt la coprophilie et la coprophagie sadomasochistes. Veronica Moser, star teutonne, la coprophagie partagée. Un point commun entre elles, bien sûr : elles sont à l’évidence dans leur élément.
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Article " Scato, copro, pratiques extrêmes " © nouvellestentations.com
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