Rien de plus tentant que de caresser, d’embrasser, de malaxer, de lécher et de sucer des seins. Ce sont là les hommages les plus courants rendus à ces magnifiques attributs féminins. Il en est d’autres, plus pervers, qui allient les agréments décoratifs et le bdsm. Pour cela, l’imagination des créateurs d’ornements mammaires est assez vaste.

Exhibons ces seins, maltraitons-les un peu (avec l’assentiment, voire la volonté affirmée de la partenaire). Pour ce qui est de les exhiber, les bijoux sont les plus belles parures. Nous avons traité ce sujet par ailleurs, mais rappelons que ces bijoux de seins peuvent être divisés en deux catégories : ceux avec piercings, et ceux avec attaches. Dans chacune des catégories, ils sont plus ou moins volumineux. Les moins volumineux d’entre eux se portent discrètement, en tout lieu et toute circonstance, sous des vêtements – ou non, si l’endroit s’y prête.

De grands classiques sont les pinces à seins, qui produisent de vives sensations.

Le principe est simple, encore faut-il le connaître : la pose de la pince est légèrement douloureuse, puis son maintien « endort » le téton. Mais c’est à la dépose que la douleur peut être fulgurante : le sang afflue de nouveau ! Donc, pour le plaisir quelque peu masochiste de la femme, il faut retirer doucement la pince, voire pincer le mamelon entre deux doigts pour que l’afflux de sang se fasse plus progressivement.

Les pinces sont de plusieurs types, souvent réglables, sauf les « japonix », et beaucoup sont reliées par une chaîne qui symbolise l’appartenance, et permet aussi quelques jeux supplémentaires, comme l’étirement. Quelques-unes sont joliment ornées de clochettes, qui tintinnabulent à chaque mouvement mammaire. Il existe aussi des pinces auxquelles on peut ajouter des poids de différentes masses.

Comment utiliser les nipple stretcher ? Cliquez dans photo ci-dessous pour regarder la vidéo

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Comme on connaît ses seins... On les (des)honore

suite page 2 : objets divers, pompes, cire...

Des objets courants et peu onéreux (voir aussi notre article sur « Comment s’amuser pour pas cher ») peuvent pincer : pinces à linge classiques, simples pinces à cheveux, mais aussi baguettes chinoises reliées entre elles à chaque bout par un élastique ou une ficelle, et qui enserrent le téton. Pourquoi pas les cintres métalliques spécialement conçus pour les pantalons, dotés de pincettes mais aussi du crochet, qui peut servir à bien des fantaisies ?

On voit même des tapettes à souris… Quelques méchants esprits aiment presser les seins entre deux planches ou tiges de bois, qui rendent les mamelles encore plus sensibles aux petits ou grands sévices que la femme est prête à endurer ou désireuse de le faire. La cire, par exemple. Ou la glace, autre versant de la brûlure !...

Toute une gamme de tire-laits et de suceurs est à disposition des manieurs de seins : ces objets, des cloches transparentes agrémenté d’un système de pompage, étirent les tétons, en augmentent le volume, les rendent très sensibles, et l’on peut en régler la puissance de l’aspiration. Certaines de ses pompes sont vibrantes – plaisir garanti…

Enfin, il n’est pas interdit, dans des jeux évidemment consentis de part et d’autre, de mordre, de pincer avec les doigts, mais aussi de griffer, de fouetter ou de cravacher (tout cela avec précautions et dans la limite acceptée par la femme qui reçoit ) ces seins qu’on aime souvent (des)honorer.

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